Écouter Allan Rayman est une expérience en soi, tant il est impossible de lui coller une étiquette. C’est tant mieux et c’est sans doute l’intérêt de la chose. Peut-être est-il tout simplement en train d’inventer sous nos yeux un nouveau genre, un peu comme le trio Portishead jadis, qui fusionnait le jazz de Billie Holiday, une new-wave martiale héritée de Joy Division et un groove hip-hop – pour ce qui deviendra plus tard le trip-hop. (Source boycott-magazine.com)